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Just Friends Quintet
3 octobre 2007

* Presse

Marciac_2007__Just_Friends

 

" ... Con gran tecnica en el jazz clasico, Just Friends Quintet contagiando al publico con su "swingeante" espiritu. Se hubieran quedado un rato mas, pero habia que dar paso al siguiente concierto."

Jose Mari LopezEl Diario Vasco, juillet 2012

 

 

 

"Ce très bon groupe à la couleur middle jazz, très tonique, est d'une belle homogénéité dans lequel on peut remarquer une belle complicité musicale."

 

François Lanfry, Jazz Dixie/Swing, n° 74, février 2012

 

 

"Dans le cadre des 16ème Musicales d'Hossegor, ce célèbre quintette nous a ravi les oreilles pendant près de trois heures !..."

 

Claude Bougard, août 2010.

 

 

"... Le 10 août, sur la Place, Just Friends fut toujours aussi brillant... Dominique Burucoa (tp, flgh, voc) s'en est tenu aux cinq lettres (S, W, I, N, G) dans leur déclinaison mainstream chère à Stanley Dance, menant avec compétence instrumentale et culture un combo bien rodé dans la lignée de ceux de Roy Eldridge, Ruby Braff et Warren Vaché. Dominique a un jeu puissant, il construit bien ses phrases dans un style qui ne copie pas tel ou tel. il était accompagné notamment par Antoine Gastinel (dm) que l'on retrouve avec le nouveau Paul Chéron Sextet..."


Michel
& Lisiane Laplace, Félix W. Sportis, Jazz Hot, n° 644, novembre 2007.

 

"Swinguer : voilà le maître mot du quintet Just Friends qui, sans sortir des sentiers traditionnels, propose un jazz entraînant, porté par une complicité musicale palpable.
Cinq passionnés, cinq amis, cinq musiciens... Les regarder jouer donne l'agréable impression de voir une bande de potes "jazzer" sur fond de Duke Ellington ou de Fats Waller. "On est tout simplement un groupe d'amis qui se fait plaisir sur scène et qui espère transmettre ce plaisir au public" déclare Emmanuel de Montalembert, le guitariste du quintette. Contrat rempli hier si l'on considère l'attente interminable en fin de concert pour pouvoir poser quelques questions à la bande. Autographes, dédicaces d'albums, les Bayonnais se prêtent très largement et dans la déconnade au jeu du star system pour un public conquis par leurs sourires et leur bonne humeur... Musicalement, le combo allie propreté et sobriété pour un son dans l'ensemble assez épuré mais dans lequel l'auditeur est comme contraint de battre la mesure du pied. Les chorus tournent sans complexes avec une recherche plus dans la musicalité que dans la technicité..."

Alix, Jazz au Coeur, le quotidien de Jazz in Marciac (vendredi 10 août 2007)

 

 

Just_Friends__photo_1"… Le lendemain sous la halle, « Cuivre » avec Just Friends, un groupe venu du Pays Basque pour nous faire revivre la musique des petites formations des années 50 (style Buck Clayton ou Ruby Braff). Cinq musiciens sur scène : le pianiste Arnaud Labastie, le guitariste Emmanuel de Montalembert, Laurent Aslanian, une basse fredonnante comme on en entend peu souvent, un batteur parfaitement maître de ses tambours, Antoine Gastinel, et le cuivre… Dominique Burucoa.
Cette première visite dans notre région de ce trompettiste-chanteur, parfait maître de cérémonie, fut pour nous tous une excellente surprise tant pour ses prestations instrumentales servies par sa sonorité, son phrasé limpide et son swing communicatif que pour l’humour dont il nous gratifia dans ses vocaux et ses présentations. Le public adhéra rapidement au plaisir de jouer que manifestait le quintette parfaitement rôdé qui nous donna, pendant deux heures, l’occasion de bouger les pieds sous notre chaise avec des interprétations aussi diverses que The Flat Foot Floogie de Slim and Slam, Les Feuilles mortes, plus retenues, interprétées au bugle par Dominique Burucoa ou la très jolie mélodie du guitariste Emmanuel de Montalembert, Song For My Brother."

 

 Jacques Balmont, Jazz Classique (n° 37, septembre 2005)

 

Laurent__Manu___Antoine_devant_le_caveau_de_la_huchette"… Just Friends a fait danser les swingers de La Huchette… Le live seyant bien aux bons vivants, tous les standards des maîtres ont été interprétés dans l’esprit et le respect de la culture afro-américaine. Le jazz avec des jazzmen dans un vrai lieu de jazz…"

Hélène Sportis, Jazz Hot (n° 614, octobre 2004)

"… Doté d’une fort belle sonorité au cornet, Dominique Burucoa, qui chante aussi d’agréable manière, n’est pas sans évoquer pour moi, Ruby Braff et ce style qu’on appelait « jump », swingant et aérien à la fois. Autre soliste à ses côtés, chanteur aussi pour certains thèmes, le guitariste Emmanuel de Montalembert s’exprime dans un style si personnel que je ne sais guère à quel musicien de« référence » le ramifier. Son jeu est concis, le son assez âpre, l’attaque pleine de virilité. Et il en ressort une sensation qui m’a amené à l’imaginer, par exemple, au sein d’un big band de Hampton où, je pense, il aurait été aussi fort à son aise. Au piano, Arnaud Labastie improvise de bien jolies choses et sait se montrer un accompagnateur attentif en tous points remarquable. À la batterie, Antoine Gastinel apparaît perpétuellement souple, swingant et musical, y compris dans des solos toujours intéressants. On a avec Laurent Aslanian, à la « contrebasse chantante » (Slam Stewart, Major Holley), la très nette impression de faire une réelle découverte : son, puissance, idées, swing, sens des tempos… Cet exceptionnel musicien à « tout pour faire » et on devrait en reparler !"

 

Roland Dieuleveut, Jazz, Dixie/Swing (n°40, août 2003)

 

 

Arnaud__Manu__Laurent__Dominique___Antoine"... Dès la première mesure, vous êtes pris : c’est le swing dans son essence qui anime ce quintette. Le répertoire est éminemment tourné vers les petites formations du style Buck Clayton, Ruby Braff des années 50/60... Jamais nous n’avions entendu Antoine Gastinel avec un jeu de balais aussi souple. Celui à la Tiny Grimes/Billy Mackel de Manu est toujours aussi pertinent avec une aération du jeu -une touche de Lawrence Lucie est souvent présente- qui, marié au jeu de main gauche d’Arnaud Labastie et au « downstroke » de Laurent Aslanian, nous transporte au Savoy. C’est fou ce que Labastie s’est investi dans le jeu des pianistes « swing » et « stride » ; servi par une technique de piano remarquable. Une fois surgi de ses paquets d’accords, son jeu revêt une vélocité souvent de fort bon aloi. Laurent Aslanian continue la tradition -chant, archet- de Slam Stewart et des Jimmie Blanton, Oscar Pettiford... Quel bonheur de regarder Dominique Burucoa jouer, chanter, danser, swinguer et nous rappeler ces Clark Terry, Buck Clayton, Warren Vaché, Johnny Letman, Sidney De Paris qui ont enchanté nos soirées il y a encore peu de temps. Quelle fraîcheur de jeu ! Qu’il a bien fait d’écouter Mickey Baker, « un grand du jazz » disait encore récemment Bernard Purdie, qui l’encourageait à travailler la trompette et à chanter plus encore ! Ne nous y trompons pas, toutes les interventions sont portées par des arrangements variés et ciselés... un spectacle qui attise l’intérêt... Ne manquez pas les concerts de cette grande formation !"

c_est__crit_dans_le_sable

 

Claudia & Jean-Pierre Battestini, Jazz, Dixie/Swing (n° 39, mai 2003)

 

"On eut l’occasion d’entendre Just Friends avec Dominique Burucoa (tp) et un Laurent Aslanian fort Gaillard (basse et chant à l’unisson) dans un groupe au swing relax mais décisif où chacun prêtait sa voix à un répertoire swing ( Cement Mixer de Slim Gaillard, There Is No Greater Love , Ain’t Misbehavin’ ...) avec les excellents Emmanuel de Montalembert (g), Arnaud Labastie (p) et Antoine Gastinel (dm)..."

Jean Szlamowicz, Jazz Hot (n° 593 - septembre 2002)

 

 

  

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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